La forgeronne du Temple des Arts sait fusionner art et armes. Préférez-vous combattre, une œuvre entre les mains ou mourir, une œuvre entre les côtes ?
Lisbeth, muse des forges
Dans l’immense chaleur des fourneaux de pierre,
Des braises ardentes chatoient de mille feux
Pour fondre le métal à l’éclat chaleureux
Dont les reflets brûlants se font presque incendiaires.
Usant de ce métal liquide et rougeoyant
Pour forger les œuvres qui comblent son esprit,
La douce forgeronne aime à être transie
Du plaisir procuré par cet art élégant.
Ses belles mains gantées martèlent sur l’enclume
L’acier des épées et le fer des armures,
Mais savent aussi bien forger avec allure
Tout ce qu’il serait bon de chanter sous ma plume.
J’hall Vorondil
Laisser un commentaire