Le Temple des Arts était anciennement le Temple de la Poésie et impossible de parler de poésie, sans aborder le sujet de la muse qui représente cet art…
Euterpe, muse de la poésie lyrique
S’il est bien une muse à qui le sonnet sied
Tant ses tendres discours ont le verbe lyrique,
Mêlant alexandrins à des rimes magiques,
C’est bien la belle Euterpe au rire ensoleillé.
Qu’elle écrive ses vers en libre ou régulier,
Ses textes ont l’écho de passions oniriques
Décrivant les beautés d’un monde fantastique
Face auquel ses yeux sont grands émerveillés.
Elle égaie son chemin de sublimes poèmes
Que son cœur compose pour les êtres qu’elle aime
Aussi bien sur de grands parchemins qu’à l’oral
En usant d’un aulos pour mieux accompagner
Ses mots si caressants où se plaît à régner,
En se riant du Spleen, le subtil Idéal.
J’hall Vorondil
C’est beautiful!!!! Jme met bientôt à la chronique !! Bizouilles
Merci Suzanne! :3 Ce sonnet est l’un de mieux travaillé que j’ai pu faire! 😀
Magnifique ! Et une petite dedicasse au Spleen et l’Idéal!! 🙂
Ah oui, le Spleen et l’Idéal, sublime héritage de Baudelaire! Oh que j’aime ce poète! *o*